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16 août 2022 2 16 /08 /août /2022 17:17

Ce vendredi 12 août, un enfant de 2 ans est tombé d’un appartement du cinquième étage d’un immeuble à Villepinte (Seine-Saint-Denis). Malgré les soins prodigués par les secours, le petit garçon n’a pas survécu.

Vive émotion à Villepinte, commune située dans le département de la Seine-Saint-Denis. Ce vendredi 12 août, un enfant de 2 ans est mort après avoir chuté du cinquième étage d’un immeuble d’habitation situé au n° 2 de l’avenue André-Malraux, dans le quartier Pasteur. Un terrible drame qui s’est déroulé en tout début d’après-midi. "Je suis rentré vers 13 h 30, et j’ai vu les pompiers qui essayaient de réanimer le petit", a raconté au Parisien un voisin de la jeune victime. D’après France Bleu, le garçon se trouvait dans un état critique à l’arrivée des secours. "L'enfant a fait une chute d'une quinzaine de mètres. Il était en arrêt cardiorespiratoire", a indiqué la brigade de sapeurs-pompiers de Paris (BSPP) dans des propos relayés par le média. Malgré les soins qui lui ont été prodigués, le garçonnet est décédé sur place. Pour l’heure, les circonstances précises de cet accident domestique restent à déterminer. En effet, aucune information n’a circulé quant à la présence ou non d’un ou des parent(s) dans le logement au moment des faits. Impossible donc de savoir si le bambin a échappé à la vigilance de l’un de ses proches avant la catastrophe. D’après Le Parisien, la petite victime aurait escaladé divers objets sur son balcon, avant de basculer dans le vide. C’est pourquoi les pompiers ont souhaité rappeler l’importance de rester extrêmement vigilant avec les enfants en bas âge, spécialement en ces temps de très fortes chaleurs lorsque les fenêtres sont ouvertes. De son côté, la mairie de Villepinte a indiqué se tenir prête à apporter son aide à la famille.

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14 août 2022 7 14 /08 /août /2022 09:41

Dans le réfectoire de la Maison d'accueil spécialisée (Mas) de Franche-Terre, à Sainte-Suzanne, nombreux sont les résidents installés entre les tables et quelques chaises. Les moins timides sont au premier rang et écoutent avec attention les questions de Léandre Isseux, sapeur-pompier professionnel et adjudant au centre de formation départemental des pompiers de Saint-Leu.

"Au-delà de cela, l'idée est de montrer au grand public que les personnes porteuses de handicap peuvent donner l'alerte. Même si elles ne peuvent pas forcément faire les gestes de premiers secours, elles peuvent prévenir, alerter. Il ne faut pas s'arrêter à leur handicap."

"Que faut-il faire lorsqu'une personne est en danger ?", demande-t-il à l'assemblée, sur laquelle infirmières et aides médico-psychologiques (AMP) veillent, bienveillants. Kenny, l'un des résidents, est le premier à répondre. "Il faut mettre la personne en sécurité et il faut ensuite appeler la police, le samu et les pompiers", liste le jeune homme dans l'ordre. Un sans faute, selon le professionnel et ses trois collègues. 

 

Briser les préjugés

Hier, ces derniers se sont ainsi rendus à la Mas de Franche-Terre pour une matinée de sensibilisation aux dangers domestiques. "L'objectif est bien de sensibiliser les résidents et personnels de la Mas aux gestes à adopter, avance Janick Iefa, sapeur-pompier professionnel. Au-delà de cela, l'idée est de montrer au grand public que les personnes porteuses de handicap peuvent donner l'alerte. Même si elles ne peuvent pas forcément faire les gestes de premiers secours, elles peuvent prévenir, alerter. Il ne faut pas s'arrêter à leur handicap." Pendant deux heures, il s'agissait donc de reconnaître les accidents domestiques pour mieux agir. 

"Si demain un accident arrive, je serai capable d'assurer. Ce n'est pas parce que je suis en fauteuil que c'est impossible."

Pour Maximim Assoune, président de l'Association Saint-François d'Assise (Asfa), "une partie de ce public est appelé à vivre en autonomie. Nous avons un projet de Mas en plein centre-ville de Saint-Denis. Il faut que les résidents soient à même de connaître les zones à risques au sein d'un logement pour réagir." Sur environ 80 résidents, une dizaine serait amenée à quitter le centre de Sainte-Suzanne. Monique Maillot, AMP et également à l'initiative de la venue des pompiers, était sur tous les fronts hier. "C'est important, affirme-t-elle. Il faut qu'ils puissent s'en sortir. Aujourd'hui, les établissements médico-sociaux doivent favoriser l'autonomie des personnes en situation de handicap."

Tee-shirt de sapeur-pompier sur le dos, Kenny voulait "être en accord avec le thème" du jour. "Les sapeurs-pompiers nous protègent", sourit le jeune homme, tout heureux. Avant l'intervention des professionnels du feu, il nous glissait même son impatience à l'idée de les rencontrer et d'échanger avec eux. Une fois l'atelier terminé, "c'était vraiment bien", commente Kenny. "Parfois, c'était assez compliqué, mais il fallait bien écouter, poursuit le vingtenaire. Si demain un accident arrive, je serai capable d'assurer. Ce n'est pas parce que je suis en fauteuil que c'est impossible." 

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12 août 2022 5 12 /08 /août /2022 13:31
Le drame aurait-il pu être évité dans la résidence Amarantes aux Deux Canons ? Plusieurs résidents de cet immeuble dionysien s'interrogent après l'incendie qui a coûté la vie à une locataire ce samedi 6 août.

Dans la nuit de samedi à dimanche, le feu a pris dans une résidence du chef-lieu, rue Stanislas Gimart. Une femme d'une cinquantaine d'années est restée prisonnière des flammes.
Selon des témoins, le dispositif de sécurité incendie n’a pas fonctionné.
On fait le point sur les normes en vigueur.

 

  • Les détecteurs autonomes de fumée sont obligatoires dans chaque appartement mais sont interdits dans les parties communes. Et cela pour éviter qu’un habitant ne se retrouve directement face au feu en sortant de chez lui en cas de déclenchement de l’alarme.
  • Le syndic de copropriété est tenu d’installer au moins un extincteur dans les cages d’escalier si l’immeuble compte plus de 15 étages ou si sa hauteur est supérieure à 50 mètres. Les cages d’escalier doivent également être équipées d’un système de désenfumage.
  • Dans les parkings, il faut aussi au moins un extincteur pour quinze voitures et une caisse de sable à chaque niveau. Si le parking comporte plus de trois niveaux, il faut installer un dispositif d’extinction automatique.
  • Certains immeubles doivent également être équipés de portes coupe-feu dans les parties communes. Cela dépend de l’année de construction du bâtiment, mais aussi de son nombre d’étages et de sa hauteur.

 

L’affichage des plans et consignes de sécurité en cas d’incendie est aussi obligatoire .Tous ces équipements doivent enfin faire l'objet de vérification au minimum une fois par an.

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12 août 2022 5 12 /08 /août /2022 12:34

Ce jeudi 11 août, au matin, une équipe de pompiers a mené une action de sensibilisation aux dangers domestiques, tels qu’un sol glissant, des courts-circuits ou encore des risques d’incendie, auprès de personnes atteintes de handicap. La mission du jour était d’apprendre à repérer les dangers, même les plus petits, pour les prévenir, mais aussi savoir comment réagir.

 
 
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Un groupe de pompiers s’est rendu ce jeudi matin à la Maison d’accueil spécialisé de France-Terre à Sainte-Suzanne dans le cadre d’une opération de sensibilisation aux dangers domestiques destinée aux personnes en situation de handicap.

Sensibilisation aux risques domestiques

Le nombre d’accidents domestiques en France est estimé à 250 milles par an. La cuisine, la salle de bain ou encore les escaliers sont des lieux qui peuvent s’avérer dangereux. Les résidents de la Maison d’accueil spécialisé de France-Terre ont appris les premiers gestes. "J’ai déjà fait ça avec quelqu’un quand il était malade, j’ai été obligé d’appeler une autre personne pour venir m’aider parce que j’étais toute seule. J’ai appelé le 15", indique une résidente.

Cette action est une occasion de montrer que les personnes en situation de handicap sont, elles aussi, capables de faire face au danger. "Nous, on est partisans de se dire que les personnes qui sont à mobilité réduite peuvent, aussi bien qu’une personne valide, prévenir les secours et peut-être même faire des premiers gestes", affirme Daniel Cancrelat, adjudant-chef.

L’intervention a également pour but de développer les compétences des résidents afin qu’ils puissent apprendre à vivre seuls. "Nous avons un programme d’inclusion de ces personnes. Certaines d’entre elles sont, à terme, amenées à être autonomes au sein de leur propre logement. Donc il faut qu’elles soient sensibilisées aux risques domestiques qui existent dans un logement et comment y faire face, comment y parer", précise Maximin Assoune, président de l’Association Saint-François d’Assise (ASFA).

Ce jeudi, les pompiers ont mis les résidents sur la voie de l’autonomie en leur montrant qu’ils sont capables, comme tout le monde, de réagir en cas de problème.

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12 août 2022 5 12 /08 /août /2022 08:23

 

 Temps de lecture: 4 min

En Belgique, un accident de la main survient toutes les 10 minutes. Jardinage, bricolage, accidents domestiques ou de travail sont autant d’occasions pouvant donner lieu à la section d’un doigt, d’une main ou même d’un bras. Une telle situation d’urgence mène tout droit à l’hôpital et idéalement vers un centre de référence SOS-Mains. En Wallonie, c’est au Centre hospitalier régional Sambre et Meuse (CHRSM), situé à Namur, que l’ensemble de ces traumas sont redirigés. Récemment, des microchirurgiens qui y opèrent ont réalisé une intervention des plus complexes en sauvant l’avant-bras d’un jeune homme, entièrement sectionné par une machine agricole. « Avec le Dr Lindsay Morana et deux assistants, nous avons procédé à une opération de réimplantation de son avant-bras en réalisant plusieurs sutures des artères, des veines et des nerfs au microscope », explique le Dr Bertrand Bombaerts, chirurgien de la main au SOS-Mains du CHRSM – site Meuse.

 

 

 
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12 août 2022 5 12 /08 /août /2022 08:19
Le pompier blessé alerte sur les accidents domestiques

 

Victime d’une chute en installant des cache-moineaux chez lui, le capitaine Scarabin alerte sur les risques d’accidents domestiques en cette période estivale propice aux petits travaux et réparations.

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11 août 2022 4 11 /08 /août /2022 18:59

Les sapeurs-pompiers comptent sur les plus jeunes pour transmettre les messages de prévention, mais les adultes ne sont pas oubliés dans les actions d’éducation.
> « J’appelle ». C’est l’une des actions de communication et une information renouvelée à chaque fois. « Parfois, les gens ne savent pas les numéros d’urgence, que pour un danger vital, on compose le 15, le 18 ou le 112, qu’en cas d’incendie, c’est une compétence du 18 », détaille Jean-Marie Lecoeur. Autre but : sensibiliser à donner les bons indicateurs pour les secours. À savoir indiquer le lieu précis où on se trouve, la description de la situation, « je vois », et ce qui est entrepris, « je fais ».
> « C’est bien ». L’acronyme est volontairement mnémotechnique, il permet d’apprendre aux enfants, dès la maternelle, à identifier, avec leurs parents, les dangers de la maison. Il rappelle les causes d’accidents domestiques : chute, étouffement, sport, transport, brûlure, intoxication, électrocution et noyade.
> Formations. Elles vont se multiplier mais les pompiers de l’Indre travaillent déjà avec des agents de la préfecture sur des échanges de deux à trois heures pour sensibiliser aux risques et aux précautions à avoir en cas de déclenchement d’une crise. « On souhaite intervenir massivement dans les collectivités et les entreprises. »
> Plan familial de mise en sûreté. Les événements climatiques se déclenchent ces dernières décennies avec plus de régularité. Les pompiers, lors de leurs échanges, sensibilisent donc à des gestes simples tels qu’avoir en permanence quelques bouteilles d’eau potable chez soi en cas de coupure du réseau, un petit stockage de nourriture sèches, ou une lampe, en cas d’événement climatique qui contraindrait des habitants à être coincés chez eux le temps de l’arrivée des secours.
> Gestion de crise. Lors de la formation au collège George-Sand, les équipes enseignant et administratif seront aussi formées en jeu de rôle à la gestion de crise et à l’animation de scénario pour permettre d’anticiper les situations et connaître les rôles à tenir.

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10 août 2022 3 10 /08 /août /2022 11:13

Les dangers du barbecue

Les longues soirées d’été riment souvent avec barbecue en famille. Pourtant, cet appareil estival n'est pas sans risque : il provoque chaque année près de 200 accidents domestiques selon le ministère de la Santé.

"N'employez jamais de produits inflammables, comme l'alcool, pour allumer le barbecue. Les risques de brûlures sont réelles ! Les enfants doivent également être tenus à distance du barbecue", rappelle à ce titre le Dr Kierzek.

Utilisés sans précautions, les barbecues au charbon de bois, au gaz ou à l’électricité peuvent ainsi entraîner :

  • De violentes brûlures (notamment chez les enfants, qui touchent à tout) ;
  • Des risques d’incendie ;
  • Des émanations d’hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP) et d'autres substances cancérigènes ;
  • Des intoxications alimentaires (surtout lorsque la viande crue est conservée en plein air).
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10 août 2022 3 10 /08 /août /2022 11:09

Si vous aviez envie de préparer un barbecue ce soir, prudence. Le Fumoir BBQ avec thermomètre vendu sur le site d'Amazon a été retiré de la vente. Et pour cause : des « mentions d’avertissement obligatoires » seraient manquantes sur l’étiquette.

Le barbecue concerné

Le produit qui fait l’objet de cette procédure de rappel est le « Fumoir BBQ avec thermomètre » de la marque « Vounot ». Commercialisé sur Amazon, il comporte les informations suivantes :

  • Réf. Fiche : 2022-08-0058 ;
  • Catégorie de produit : Autres ;
  • Sous-catégorie de produit : Divers ;
  • Nom de la marque du produit : Vounot ;
  • ASIN : B07N8XMMRW ;
  • SKU : 2518146154596 ;
  • GTIN : 8011469868263 ;
  • Lot : DI101366 DI101595 DI 101585 DI101586 DI101590 ;
  • Conditionnement : Carton ;
  • Zone géographique de vente : France entière ;

Le barbecue a également été commercialisé du 14 mai 2019 au 07 juillet 2022.

S'il est désormais interdit à la vente, c'est qu'il a été jugé dangereux pour les consommateurs. Il est ainsi accusé, selon le site gouvernemental Rappel Conso, de provoquer des risques d’incendies, brûlures… et ces dangers ne sont pas mentionnés sur l'étiquette.

Le site invite donc tous les propriétaires de ce barbecue à ne surtout pas l'utiliser et à le renvoyer chez Amazon le plus rapidement possible afin d'obtenir un remboursement. Il est également possible de contacter le service consommateur au 02 78 88 01 13.

Les dangers du barbecue

Les longues soirées d’été riment souvent avec barbecue en famille. Pourtant, cet appareil estival n'est pas sans risque : il provoque chaque année près de 200 accidents domestiques selon le ministère de la Santé.

"N'employez jamais de produits inflammables, comme l'alcool, pour allumer le barbecue. Les risques de brûlures sont réelles ! Les enfants doivent également être tenus à distance du barbecue", rappelle à ce titre le Dr Kierzek.

Utilisés sans précautions, les barbecues au charbon de bois, au gaz ou à l’électricité peuvent ainsi entraîner :

  • De violentes brûlures (notamment chez les enfants, qui touchent à tout) ;
  • Des risques d’incendie ;
  • Des émanations d’hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP) et d'autres substances cancérigènes ;
  • Des intoxications alimentaires (surtout lorsque la viande crue est conservée en plein air).
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9 août 2022 2 09 /08 /août /2022 18:00

Un enfant en bas âge, dans une poussette, a été happé par un train de marchandises vendredi à Wangen an der Aare (BE). Il est décédé, communique le Ministère public régional de l’Emmental-Haute-Argovie.

La thèse d’un accident est privilégiée. L’accident est survenu vers 08h30. La poussette s’est mise à rouler sur le quai au moment où un train de marchandises arrivait en gare. Elle a été traînée sur plusieurs mètres.

Une équipe d’ambulanciers présente par hasard sur les lieux a immédiatement prodigué les premiers secours. Mais elle n’a pu que constater le décès de l’enfant.

Le Care Team du canton de Berne a été engagé afin de soutenir les proches et les personnes concernées. La police cantonale bernoise a ouvert une enquête sur les circonstances de l’accident.

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